Sénat : le Budget de l’État 2015 voté en séance plénière
La seizième séance plénière du Sénat de l’Oliy Majlis de la République d’Ouzbékistan s’est ouverte jeudi 13 novembre.
La seizième séance plénière du Sénat de l’Oliy Majlis de la République d’Ouzbékistan s’est ouverte jeudi 13 novembre, fait apprendre le service de presse de la Chambre haute du parlement. Membres du Cabinet des ministres, chefs de services ministériels et de départements, représentants d’autres institutions publiques et journalistes ont assisté à la séance dirigée par I. Sobirov, président du Sénat.
Les sénateurs ont commencé leurs discussions par l’examen de la question liée au vote du Budget de l’État et des budgets de fondations publiques spéciales, ainsi que des directions générales de la politique fiscale et budgétaire pour l'année 2015.
Dans le contexte des réformes de marché et des transformations socioéconomiques continues, l’orientation du Budget de l’Etat, des budgets de fondations publiques spéciales et de la politique fiscale et budgétaire vers la stabilité macroéconomique, la croissance du PIB, la formation d’une économie diversifiée et compétitive et l’amélioration du bien-être de la population, porte une signifiance stratégique, a été marqué lors de la séance. En ce rapport, le Budget de l’État, les budgets des fondations publiques spéciales et les directions générales de la politique fiscale et budgétaire pour 2005 ont été élaborés à partir des priorités, objectifs et missions en matière de modernisation des politiques économiques, fiscales et budgétaires, d’approfondissement des réformes socioéconomiques.
Les principales directions de la politique fiscale et budgétaire pour l’année prochaine restent la diminution continue de la charge fiscale pour les acteurs économiques et la population, l’assouplissement du système de l’imposition, l’augmentation de la partie rentable des budgets locaux et le perfectionnement du management fiscal.
Le Budget de l’État, les budgets des fondations publiques spéciales et les directions générales de la politique fiscale et budgétaire pour 2015 visent ainsi à assurer la croissance continue des revenus et du niveau de vie de la population. Sont prévues donc l’augmentation future des salaires, des bourses d’études, des allocations sociales et des pensions, l’utilisation efficace des ressources budgétaires, le renforcement du soutien social des habitants, la réformation ultérieure du système des relations budgétaires, l’accroissement de la responsabilité des organismes du pouvoir public et l’efficacité augmentée de l’usage des ressources socio-économiques.
À l’issue des discussions, les sénateurs ont adopté le Budget de l’État, les budgets des fondations publiques spéciales et les directions générales de la politique fiscale et budgétaire.
Les membres de la Chambre haute ont ensuite examiné et approuvé le Programme d’augmentation des emplois pour la nouvelle année, élaboré par le Cabinet des ministres dans le but de mettre en œuvre des mesures coordonnées en matière d’emploi.
Puis, les sénateurs ont étudié la loi relative aux appels des personnes physiques et juridiques, élaborée par le Cabinet des ministres dans le cadre de l’exécution du Programme national spécial de l’Année du bien-être et de la prospérité, approuvé par le décret du président de la République du 14 février 2013.
La première journée de la séance plénière du Sénat s’est terminée par l’examen et l’adoption en nouvelle rédaction de la Loi sur l’activité d’investissement, avancée dans le cadre des objectifs définis par la Conception de l’approfondissement ultérieur des réformes démocratiques et la construction de la société civile dans le pays. Ce dernier était adopté par les chambres du parlement en novembre 2010.
Selon les sénateurs, cette dernière favoriserait l’amélioration future du climat des investissements dans le pays, l’augmentation de l’efficacité de la défense des droits et intérêts des investisseurs, la réalisation efficace de la politique nationale dans le domaine des investissements, ainsi que l’encouragement des investissements privés.