Les progrès de la mise en œuvre des projets soutenus par les institutions financières internationales dans le domaine de l’approvisionnement en eau potable, de l’agriculture et de la santé ont été examinés vendredi, le 20 novembre, en présence du président de la République Chavkat Mirzioïev.

Depuis les dernières années, on observe l’élargissement du nombre et de la géographie des projets soutenus par les institutions financières internationales. Notamment, au cours des sept dernières années, 16 milliards de dollars ont été mobilisés, avec le lancement de 103 nouveaux projets.

Cela a permis de construire et rénover 9 000 ouvrages du secteur social et d’infrastructures pour améliorer la vie quotidienne de quelque 5 millions de personnes. On a lancé 38 nouveaux grands ouvrages industriels et créé 6 500 emplois très bien payés. 

En outre, les investissements étrangers favorisent l’entrée des nouvelles technologies et des approches contemporaines dans les secteurs économiques

Mais, des résultats considérables ne sont pas observés pareillement dans tous les secteurs. Par exemple, cette année, le système du ministère de l’Agriculture attend un investissement de 238 millions de dollars de structures internationales, ce qui est bien moins que prévu. 

Au total, ces dernières années, on a investi 2,4 milliards dans le secteur, dont seulement 1,3 milliard maîtrisés. Il y a des projets qui ne suivent pas leurs calendriers. Par exemple, le projet de création des centres agrologistiques dans les régions d’Andijan, de Samarcande et de Tachkent est retardé.

Dans la plupart des cas, cela est lié aux activités des équipes de projet.

Le chef de l’État a donné des instructions pour l’augmentation de la responsabilité des ministres dans la mise en œuvre des projets, la mise en place des discussions permanentes sur chaque projet en présence d’experts internationaux, l’assurance de l’usage efficace des ressources.

Les responsables du secteur ont rapporté sur les mesures prises pour l’intensification de l’action, l’élimination des retards, la mise en œuvre des projets en bonne qualité d’ici à la fin de l’année et en 2024.

UzA