Le président propose la création d’une association pour la culture des câpres dans la région de Namangan
En déplacement dans la région de Namangan, Chavkat Mirzioïev s’est intéressé au déroulement de la construction de l’usine pour la production des moyens de protection chimiques des plantes dans le district de Tchoust.
En déplacement dans la région de Namangan, Chavkat Mirzioïev s’est intéressé au déroulement de la construction de l’usine pour la production des moyens de protection chimiques des plantes dans le district de Tchoust.
L’entreprise, financée par la SARL Ifor Agro Kimyo Himoya et Hamkorbank, produira 28 sortes de préparations chimiques pour la protection des cultures agricoles. Le coût de projet est estimé à 6,5 millions de dollars au total.
La mise en service de l’usine permettra de satisfaire aux besoins locaux par la production des préparations actuellement importées de l’étranger et la mise en place de leurs exportations.
Le président du pays a souligné l’importance du maintien d’une coopération étroite avec les institutions de recherches scientifiques dans la production, de l’amélioration de leur qualité et de l’élargissement des exportations.
De même, il a pris connaissance des projets de plantations de noix et de pistache, ainsi que des projets visant à l’augmentation de la production agricole, au lancement de la culture des câpres, au développement de l’aviculture et de l’élevage de chèvres.
Il a souligné également de réduire les champs de coton et de blé dans les régions où leur récolte est faible, où le travail va à la perte, pour mettre en place la culture de fruits, de légumes, de melon et de pastèque, qui donnent de bons revenus. Les gens doivent obtenir des récompenses dignes de leur travail, selon le chef de l’État.
Cette année, on planifie de lancer la culture des câpres sur plus de trois mille hectares de terres dans la région de Namangan. Une culture rentable, les feuilles, les fleurs, les fruits et les racines du câprier étant largement dans la médecine populaire.
Le président du pays a indiqué l’importance de mener des recherches scientifiques sur la culture des câpres, d’élaborer les mécanismes d’exportation, de fonder une association servant au développement de cette culture.