Le 7e congrès international « Le patrimoine culturel d’Ouzbékistan - le fondement de la nouvelle Renaissance », organisé par la Société mondiale pour l’étude, la préservation et la popularisation de l’héritage culturel de l’Ouzbékistan (WOSCU), a commencé son travail dans le complexe touristique de la Route de la Soie à Samarcande (Silk Road Samarkand).
Lors de l’évènement, l’académicien et président de l’Académie des Sciences d’Ouzbékistan Bekhzod Yuldashev, le président de la WOSCU Firdavs Abdukhalikov, les représentants de l’Union des musées de la TURKSOY, de l’Institut des manuscrits orientaux, de la Fondation allemande Cultur-cooperation International e. V. et d’autres invités sont intervenus pour parler des projets en cours pour l’étude et la popularisation de l’héritage culturel ouzbek. En particulier, l’information détaillée a été présentée sur l’action effectuée par la WOSCU dans ce domaine.
Selon Firdavs Abdukhalikov, la Société mondiale pour l’étude, la préservation et la popularisation de l’héritage culturel de l’Ouzbékistan a été créée grâce à la politique ouverte menée par le président Chavkat Mirzioïev, et avec son concours direct. Le présent projet a pour but de recueillir l’information sur les œuvres d’art et de culture historiques liées à l'histoire de la nation ouzbèke, mais qui appartiennent à l’heure actuelle à des musées, collections privées et bibliothèques partout dans le monde pour des raisons diverses. Pour la période passée, avec le soutien de centaines de savants, experts et spécialistes locaux et internationaux, soixante volumes de livres-albums de la série « Le patrimoine culturel de l’Ouzbékistan dans les collections du monde » ont été publiés.
Le congrès de cette année va permettre de présenter encore dix nouvelles œuvres de la même série (les volumes 61-70), avec plus d’une dizaine de projets de publications locales, fait connaître le président de la WOSCU.
Dans le cadre du congrès, un nombre de conférences internationales sont organisées pour présenter quelque 120 rapports en la matière.
Le congrès rassemble plus de 300 participants, historiens, spécialistes de la critique textuelle et de l’étude de source, collaborateurs de musées, représentants de la communauté scientifique de quelque quarante pays du monde.
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UzA