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La réunion présidentielle consacrée aux tâches importantes visant à assurer la stabilité macroéconomique et la croissance économique
18:33 / 2024-01-16

Le président Shavkat Mirziyoyev a tenu mardi, le 16 janvier, une réunion consacrée aux priorités de la stabilité macroéconomique et du développement économique en 2024.

En 2023, le pays a connu une croissance économique de 6 %. En particulier, on a marqué une hausse de 6 % dans l’industrie, de 6,8 % dans le secteur des services, de 6,4 % dans le secteur du bâtiment, de 4,1 % dans l’agriculture.

Cette année, on prévoit d’augmenter le volume du produit intérieur brut d’au moins 6 % et de le faire s’élever à 100 milliards de dollars.

La réunion présidentielle a permis d’aborder les objectifs importants et les mesures nécessaires à prendre dans ce domaine.

Les collaborateurs du secteur économique, qui sont aux rangs supérieurs des réformes, doivent travailler davantage et plus fort en premier lieu, a souligné le chef de l’État. 

Par exemple, la valeur ajoutée du produit ne dépasse pas les 40 % dans la croissance de la production industrielle. Cela est généralement lié à la dépendance à l’égard des importations, à la consommation élevée de l’énergie et aux dépenses excessives.

À cet égard, il a été déterminé que l’année 2024 serait une année de l’efficacité et de la réduction des dépenses pour les responsables du complexe économique et de toutes les entreprises publiques. La réunion a fourni l’occasion d’étudier les possibilités pour la diminution des dépenses par l’optimisation des achats et de la logistique, l’économie des ressources énergétiques et la numérisation dans l’exemple de certains secteurs.

La discipline financière a également été abordée lors de la réunion.

Dans ce domaine, le ministère de l’Économie et des Finances s’est vu confier les charges visant à assurer la régularité des recettes fiscales et à prévenir l’augmentation déraisonnable des dépenses dans les entreprises.

L’économie souterraine constitue un obstacle à la concurrence honnête et à l’activité des entrepreneurs décents, a déclaré le président en avançant des mesures supplémentaires.

À l’heure actuelle, quatorze organisations sont engagées dans la lutte contre l’économie clandestine et la criminalité économique. Les compétences du Département de la lutte contre les crimes économiques, qui fonctionne auprès du bureau du procureur général, seront élargies dans l’objectif de coordonner et de renforcer l’action dans ce domaine. Le Département sera également muni d’instruments les plus modernes et de spécialistes expérimentés, auprès de lui sera créé un centre de recherche et d’études analytiques. En outre, une direction spéciale et ses filiales régionales seront créées dans le système du ministère public.

Les questions liées à l’efficacité des dépenses budgétaires, à l’objectif de baisser le taux d’inflation et à l’augmentation des emplois ont également fait l’objet de discussion lors de la réunion.

Les dirigeants du complexe économique, les ministres concernés et les hokims territoriaux ont présenté leurs rapports sur le thème ainsi que leurs projets pour l’année courante.

UzA