À Ferghana, Chavkat Mirzioïev a présidé la réunion élargie consacrée aux enjeux actuels et aux missions prioritaires de la prévention de délinquances et de la lutte contre la criminalité dans les régions.

« Dès les premiers jours de nos réformes, nous avons déterminé l’honneur et la dignité de l’homme comme la plus haute valeur de notre société. Dans la Constitution renouvelée du pays, nous avons fixé que l’Ouzbékistan est un État de droit. Notre but unique est de rendre prospère la vie du peuple par l’assurance de la justice et de la primauté de la loi » a dit le chef de l’État.
Prononçant un discours à la conférence, le président a fait un bilan sur la situation actuelle, et parlé des progrès du secteur et des missions à réaliser à l’avenir. Un accent particulier a été mis sur les paramètres liés à l’état de criminalité dans les régions. Il a critiqué le travail des responsables du secteur, dont certains ont été relevé de leurs fonctions en raison de la mauvaise organisation de l’action pour la lutte contre les infractions.

Le chef de l’État a annoncé qu’un nouvel ordre de prévention de la criminalité serait désormais mis en place dans les mahalla.
Une tache importante a été déterminée pour lancer le nouveau système d’information nommé « Situation sociale », dédié aux problèmes sociaux et criminogènes dans le contexte de régions, de districts et de mahalla, ainsi que le numéro de l’aide urgente « 112 » avec le service de régulation.
La réunion a également permis d’aborder les criminalités chez les jeunes et les femmes.
Le président a chargé d’élaborer de nouvelles méthodes pour l’assurance de la sécurité sociale, d’améliorer les connaissances et les performances des collaborateurs des organismes engagés dans la protection de la loi.

Les gens ne sont pas contents de la situation liée à la sécurité de la circulation routière, a-t-on rappelé lors de la réunion.
Par exemple, au cours des six derniers mois ont eu lieu quelque 4 000 accidents de véhicules, qui ont fait 873 morts et plus de 3,5 mille blessés. 48 % des accidents sont causés par les défauts dans les infrastructures de transports. Cette année, le manque de conditions nécessaires pour piétons a provoqué 1 859 incidents ayant emporté la vie de 334 personnes.
À cet égard, le chef de l’État a avancé l’initiative de remettre de l’ordre dans le domaine de la sécurité routière.

La conférence a permis aux responsables du secteur et aux dirigeants territoriaux de présenter leurs rapports sur les questions mises à l’ordre du jour.



OuzA