À l'initiative de la Société mondiale pour l'étude, la préservation et la promotion du patrimoine culturel de l'Ouzbékistan, des spécialistes de l'Université d'État russe des arts et de l'industrie Stroganov ont mené des recherches approfondies et ont trouvé des objets véritablement uniques du patrimoine culturel de l'Ouzbékistan. Les objets en métal et en bois ainsi que des échantillons de céramique traditionnelle sont restés longtemps inexplorés.

Le travail de recherche et d'identification des artefacts présentant un intérêt pour l'Ouzbékistan a duré plusieurs mois. 

Lors d'une réunion au bureau de la Société mondiale, le professeur Kirill Gavrilin, chef du département d'histoire des arts et des sciences humaines à l'université Stroganov, a déclaré 

- "Je remercie sincèrement la Société mondiale pour l'invitation à participer au sixième congrès international de la Société mondiale "Le patrimoine culturel de l'Ouzbékistan - le fondement de la Nouvelle Renaissance", qui s'est tenu l'été dernier à Samarkand. Non seulement parce que j'ai eu l'occasion de rencontrer d'éminents spécialistes des études orientales du monde entier, mais aussi pour le travail approfondi et systématique réalisé dans le cadre du projet "Le patrimoine culturel de l'Ouzbékistan dans les collections du monde". 

Après des enquêtes menées par la Société mondiale et des recherches effectuées dans les fonds de notre université, il s'est avéré que nous possédons plus de 200 éléments du patrimoine culturel de l'Ouzbékistan !  Et la plus grande collection est constituée de céramiques architecturales de l'Ouzbékistan, provenant apparemment de la collection d'Alexei Filippov - un célèbre artiste, céramiste, technologue et restaurateur du début du XXe siècle. Selon ses notes, il a commencé à collectionner des céramiques ouzbèkes sous Nicolas II. La collection n'a été découverte que récemment et comprend non seulement des exemples d'art appliqué du début du XXe siècle, mais aussi des céramiques des années 1960 et 1970, qui ont été apportées à Moscou lors d'expéditions d'étudiants.

Des objets individuels sont également conservés au Collège de design et d'art décoratif de l'université, qui formait autrefois des maîtres des arts décoratifs de l'ancienne Union soviétique, y compris de l'Ouzbékistan. Certains de ces objets provenaient du musée révolutionnaire de Khorezm en 1964. 

Le projet est parrainé par la société de services pétroliers "Eriell Group". L'auteur et chef du projet est Firdavs Abdukhalikov.

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